Les jours semblent être mauvais ce dernier temps pour le sénateur à vie Joseph Kabila, un des ses proches Kikaya Bin Karubi dénonce l’organisation des réunions pour tentées d’arrêter l’ancien président de la République et le transférer à la Cour Pénale Internationale.
Pour ce diplomate, après avoir livré Joseph Kabila et Mobutu Sese Seko, sauver Joseph Kabila est un devoir citoyen.
PROTEGER KABILA, C’EST SAUVER LE CONGO
On ne peut pas être chef d’Etat en RD Congo et ignorer l’enjeu que représente ce pays dans le vécu de la planète Terre. Avant-hier Joseph Kasa-Vubu et Mobutu Sese Seko, hier Laurent-Désiré Kabila et Joseph Kabila, aujourd’hui Félix Tshisekedi, probablement demain quelqu’un d’autre : tout président congolais sait qu’il porte sur lui la responsabilité gigantesque, énorme, de garantir les acquis du mode de vie idéalisé par l’Occident. Ce mode de vie est appelé « civilisation judéo-chrétienne ». Y aspirent toutes les autres civilisations du monde avec pour symbolique la société de consommation « édenisée » comme dans ce jardin biblique imagé dans notre subconscient collectif.
Le congolais est tenu au devoir de savoir qu’il y a un prix pour sa préservation : l’Accord général de Berlin ouvrant le bassin de son Congo au commerce mondial.
Pour l’heure, le seul Congolais à le connaître est Joseph Kabila Kabange obligé d’édifier son successeur et, par ricochet, ses successeurs. Malheureusement, c’est contre lui (et ses proches) qu’une chasse aux sorcières stupide et idiote s’organise, comme si après avoir livré Kasa-Vubu, Mobutu et L-D. Kabila aux parrains, le Congo a vu des investissements extérieurs, principalement occidentaux, venir à flots.
S’il est une leçon à en tirer pour tous les Congolais, c’est celui de considérer le salut de Joseph Kabila Kabange comme celui de la République Démocratique du Congo, notre patrimoine commun, développe cet ancien député dans une tribune publiée sur son blog
P.K